Le jour ou j’ai appris à vivre

Chronique du livre « Le jour ou j’ai appris à vivre »


Bienvenue pour moins de stress et plus de bonheur dans votre vie avec comment transformersavie 🙂

Laurent Gounelle
Le jour où j’ai appris à vivre

De Laurent Gounelle, 2014, 286 pages

Ecrivain est aussi un spécialiste des sciences humaines, formé en France et aux Etats-Unis. Ses romans expriment sa passion pour la philosophie, la psychologie et le développement personnel.

Chronique et résumé du livre :

Introduction

  • Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un Dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir.
  • Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire…vous auriez préféré ne pas l’entendre.
  • A partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle. C’est ce qui va arriver à Jonathan dans ce nouveau roman de Laurent Gounelle.
  • A la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embraqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d’expériences qui vont changer radicalement sa  vision de sa vie, de la vie.
  • Ce roman, dont l’intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d’une lumière nouvelle  notre existence et nos relations aux autres, et apporte un souffle d’air pur dans notre vie.

Regarder cette très bonne Entrevue avec Laurent Gounelle par Sandrine & Nicolas de Mindstep

<< Celui qui est le Maître de lui-même est plus puissant que le maître du monde. >> Bouddha


statue-bouddha-assis-
Prendre le mal à la racine

Dans cette opus de Laurent Gounelle commence par ses mots << Prendre le mal à la racine. >> et fini par << Ça existe pour de vrais…… elle tendit la main pour le toucher. Entre les brins d’herbe devant elle, juste là, sous ses yeux, il y avait, vrai de vrai, un trèfle à quatre feuilles.>>


Partie 1. Le début de l’histoire du livre le jour ou j’ai appris à vivre

Mais avant Laurent Gounelle avec son personnage Jonathan nous emmène à San Francisco, il aime bien cette ville, qui  est située à l’extrémité nord de la péninsule de San Francisco, entre L’océan Pacifique à l’ouest et la baie de San Francisco à l’est. Le climat de San Francisco est de type méditerranéen , il y fait bon d’y vivre.

Cela n’empêche pas qu’il y a les routines de la vie ou il n’y fait pas si bon d’y vivre. Jonathan agent en assurance, qui n’ a pas t’en que ça,  est prit par son chiffre d’affaire, ses résultats, avoir plus de clients, toujours son smartfone à la main pour y suivre l’actualité et ses mails, que du coup, il se perd dans sa vie, sa vie de couple, il vie séparait de ça femme et de sa fille, qu’il ne voit que les week-end, tout cela l’ennui au plus.

Mais ne voit rien, même s’ il veut, il ne trouve pas de solutions !!! D’autre personnes viennent se greffer dans cette histoire tel qu’un bloggeur qui film les gens a leurs insu , le tennisman en soif de victoires, son ami Mickael avec qui il partage ça société, qui cherche à l’évincer.

San Francisco le golden gate
San Francisco le Golden Gate

Partie 2. Le déclenchement

Un jour de Sunday Streets ou il marché sur les quai de Pier 39, pour y retrouver un peut de chaleurs humaine et se sentir moins seul.Il y rencontra une bohémienne qui allait lui dire une prédiction sous forme de sentence, qui secoua Jonathan au plus au point.

Partie 3. Chercher la solution

<< L’homme ne prend conscience de son être que dans les situations limites.>> Karl Jaspers

La solution Jonathan la trouvera grâce à ça tante, chez qui il va se réfugier. Là ou une quête sur la recherche de sa vie va commencer.

<< Et si tu marcher ? Marcher ? pour quoi faire !!>> Jonathan vécut un petit choc : le jour ou il découvrit pendant ses longues marches que son  portable ne captait plus !! Au début, se léger sentiment d’un lien qui se brise, d’une liaison interrompue le contrariait jusqu’a le tendre désespérément vers les cieux.

Au début, il en ressentit l’impression d’être isolé, coupé du monde, jusqu’a ce qu’il réalise qu’il n’avait jamais été autant connecté à lui-même, à son corps, à ses sentiments, à son intériorité, mais aussi, étonnamment, connecté à la terre, à la vie animale et végétale.

Chaque heure de marche avivait en lui cette flamme, cette richesse méconnue ou endormie depuis si longtemps qu’il en avait oublié l’existence.

le jour ou j'ai appris a vivre
Oublié l’existence

Partie 4. Les discussions avec sa tante

Chaque discussion avec sa tante lui apporter une leçon de vie sur son existence.

<< La vie se charge de transformer nos angoisses fantasmatiques en réalité. Les peureux se font tourmenter, les gens qui craignent de ne pas être à la hauteur échouent, ceux qui ont d’être rejetés finissent par l’être et quand, par manque de confiance, on veut tout contrôler, eh bien, on ne contrôle rien : contrôle ta femme elle te trompera.

Contrôle tes enfants, ils se rebelleront. Contrôle ton peuple, il fera la révolution.>>

<< Donnez-moi le courage de changer ce qui peut l’être, d’accepter sereinement les choses que je ne puis changer, et la sagesse de distinguer l’une de l’autre. >>

tlchargement-14
Notre société s’abime dans le déni de la mort

<< Puisqu’on est tous reliés, en lutant contre les autres, on lutte contre soi-même.>>

<< — Notre société s’abime dans le déni de la mort. On fait comme elle n’existait pas. On se réfugie même derrière un vocabulaire métaphorique pour la désigner : — Pourtant, c’est paradoxalement la prise de conscience de nos limites qui peut être libératrice.

C’est en les acceptant pleinement que l’on peut alors s’épanouir, déployer notre créativité, et même se mettre à réaliser de grande choses. Et comme la plus grande des limites, la plus incontournable, c’est la mort… notre vie véritable  commence le jour ou l’on prend conscience que l’on mourra un jour, et qu’on l’accepte pleinement. >>

Partie 5. Le dénouement

changer ma vie
Changer ça vie

En faite il va faire un retour des plus invraisemblable dans sa vie, tant au niveau sociale, que professionnel. Retrouver un équilibre sur le plan professionnel avec un vrais sens de son travail, des vrais valeurs. Redonne un vrais sens à sa vie, en donnent de l’amour au tour de lui.

Conclusion sur ce livre le jour ou j’ai appris a vivre:

En parlent de ce personnage Laurent Gounelle parle un peut de lui à travers son expérience du moins sur le plan professionnel.

Il veut une fois de plus donner conscience au gens que tout être sur terre a le droit de changement, d’espérer en son âme et conscience, que l’on peut donner de l’amour pour une meilleur vie.

Que grâce à un changement fort dans ça vie, cela peut faire ouvrir  les yeux aux gens. Là une course à la vie et plus forte que le reste, argent, travail. Et revenir au source a bien plus d’importance. Donner de l’amour vrais à ce que l’on fait,

<< il y avait, vrai de vrai, un trèfle à quatre feuilles>> permet de trouver ce fameux trèfle à quatre feuilles…

Vous avez aimez la chronique de ce livre vous pouvez l’avoir, en cliquant sur le lien dessous

Laurent Gounelle
Le jour où j’ai appris à vivre

Le livre sur Amazon de Laurent Gounelle, Le jour où j’ai appris à vivre


Surtout, Vous êtes votre première richesse, dépassez vos doutes et libérez vous pour vivre une vie épanouissante !!

Si vous avez aimé cet article, pensez à le partager sur Facebook ou Twitter. Pensez aussi à laisser un commentaire sur le blog ! ! Ça fera plaisir à ceux qui nous suivent, ça vous fera plaisir et ça me fera plaisir aussi, bref tout le monde sera heureux ! !


Encore plus d’articles à voir sur le blog:

[wpforms id= »5195″]

2 commentaires sur “Le jour ou j’ai appris à vivre

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.